Plus belle la vie en avance : ce qui vous attend dans l’épisode 243 du mercredi 8 janvier 2024 [SPOILERS]

Dans le prochain épisode de “Plus belle la vie, encore plus belle”… Les Mistraliens sont sur le point de célébrer les uns ans de la renaissance de leur quartier, mais un événement va venir bouleverser la fête.

Attention, les paragraphes qui suivent contiennent des spoilers sur l’épisode de Plus belle la vie, encore plus belle diffusé mercredi après-midi sur TF1 ! Si vous ne voulez rien savoir, ne lisez pas ce qui suit !

Mercredi 8 janvier dans Plus belle la vie, encore plus belle…

Ariane face à sa plus grande phobie

Au Mistral, Vadim discute avec l’un de ses amis et lui offre un livre sur Dracula. Le jeune homme veut, à son tour, lui offrir un cadeau, mais le présent semble avoir disparu du sac à dos. Soudain, on entend Barbara crier au loin : “C’est quoi ça ?”.

Quelques minutes plus tard, au commissariat, Patrick annonce à Morgane qu’elle doit se rendre en intervention au Mistral. Et pour cause, il y a un serpent dans la cuisine. Ariane doit également l’accompagner, mais cette dernière a la phobie des serpents.

En arrivant sur les lieux, Ariane prend la déposition de Kilian. De son côté, Morgane s’occupe de celle d’Aya. Elle l’interroge sur le serpent et Morgane découvre que le reptile n’est pas venimeux. Plus de peur que de mal pour les habitants du Mistral.

Eric prend la défense de Bahram

Au Pavillon des Fleurs, Bahram informe Eric et Blanche que sa demande de séjour a été refusée. La raison ? Le tribunal considère qu’il ne court pas un danger dans son pays natal par rapport à son homosexualité.

Blanche conseille au sans-papier de faire une demande d’asile, mais il refuse que son orientation sexuelle soit révélée à ses proches. Au lieu de ça, il préfère contacter un passeur pour l’Espagne. Eric refuse de laisser tomber son ami et se rend aussitôt à la préfecture.

Plus tard, Eric est mis dehors par les vigiles de la préfecture. Blanche tente de la calmer, mais ce dernier est furieux comme jamais. Il dit à son amie : “C’est injuste, cette décision qu’ils ont prise”. Va-t-il s’avouer vaincu ?

Thomas a le cœur brisé

C’est un grand jour pour les Mistraliens : ce 8 janvier 2025, ça fait un an que le bar-restaurant a ouvert ses portes après l’effondrement. Si pour Barbara (Léa François), l’heure est à la fête, pour le patron du lieu, Thomas (Laurent Kérusoré), c’est une toute autre histoire.

La raison ? Thomas ne cesse de penser à sa relation avec Gabriel. Il informe sa meilleure amie qu’il a entamé une thérapie de couple et qu’il ne s’est jamais senti aussi proche de son conjoint… Est-il sur le point de lui pardonner ?

Thomas retrouve Gabriel sur la place du Mistral. Ce dernier lui propose un très beau projet de vie : accompagner des enfants en famille d’accueil et qui ont besoin d’amour dans toutes les étapes de leur vie. Thomas est touché par la proposition de son mari.

En arrivant chez lui, Thomas découvre que Baptiste souhaite décaler son retour en Australie afin de l’aider à sauver son couple. Thomas est contre cela et en profite pour annoncer à son fils qu’il fait une thérapie avec son époux.

De son côté, Gabriel Riva est une nouvelle fois contacté par la malfrat. Ce dernier lui ordonne de veiller sur l’un de ses hommes qui a fait un coma éthylique et de rester à ses côtés durant la nuit. Gabriel accepte, à condition de se rendre à sa séance de thérapie, mais le voyou refuse.

Au même moment, nous découvrons Thomas en train d’attendre que son époux le retrouve pour la séance. La thérapeute lui demande s’il est prêt à donner une seconde chance à son couple, et il répond : “Non”. Il règle la séance et décide d’annuler toutes les suivantes.

En fin de journée, Barbara et Kilian préparent l’anniversaire du Mistral. Thomas arrive, mais il n’a pas le moral. Il informe son frère et sa meilleure amie que Gabriel n’est pas venu au rendez-vous et qu’il n’a pas la tête à faire la fête.

Barbara et Kilian tentent de lui remonter le moral, mais Thomas refuse de faire le moindre effort, au point où il prend une décision radicale : annuler la fête du Mistral…