Exclu. “J’ai eu un peu le syndrome de l’imposteur”, Virginie intègre les Masters de N’oubliez pas les paroles et réagit !

INTERVIEW. C’est une grande étape que vient de passer Virginie, dans N’oubliez pas les paroles. La candidate de France 2 intègre les Masters, une belle consécration sur laquelle elle s’est confiée auprès de TV Actu.

Virginie est l’actuelle Maestro de N’oubliez pas les paroles, sur France 2. Depuis le 16 juin dernier, elle fait le show dans l’émission présentée par Nagui, pour le plus grand bonheur des téléspectateurs. Et lors de l’émission de ce lundi 7 juillet 2025, la professeure de mathématiques a passé un grand cap. Elle a intégré les Masters du jeu télévisé. Une nouvelle étape sur laquelle elle s’est confiée auprès de TV Actu.

TV ACTU Vous avez intégré les Masters. Comment avez-vous réagi en l’apprenant ?

Virginie : J’ai eu un sentiment ambivalent. J’ai ressenti une joie vraiment intense, mais aussi du stress. J’ai eu un peu le syndrome de l’imposteur. Je n’aurais jamais pensé pouvoir les intégrer. Je me suis dit que je n’aurais pas le niveau et qu’il faudrait que je bosse encore plus, parce que les autres Maestros sont très forts. Mais ça n’a jamais vraiment été un objectif, parce que je n’avais pas l’impression que j’aurais pu y accéder.

Allez-vous réviser plus pour ces Masters ?

Je suis sur la fin de ma grossesse et j’ai déjà pas mal révisé avant l’arrivée de mon petit, donc je vous avoue que je me concentre sur la fin de ma grossesse.

Un maestro que vous redoutez le plus ?

Je les redoute tous (rires). Ils sont tous très forts et j’ai l’impression que je n’aurais aucune chance si je tombe sur Margaux, Benoît ou Laurens. Même Etienne qui a atteint les quarts de finale l’an dernier. Ils sont tous tellement monstrueux. Bien sûr que je vais réviser avant, mais je vais y aller vraiment sans pression. Je vais faire ce que je peux, mais je n’ai pas d’attente de victoire.

Avez-vous eu des messages du public sur les réseaux sociaux ?

J’ai uniquement Facebook et ça m’a surpris de recevoir des messages. Beaucoup de gens m’ont écrit pour me féliciter, pour m’encourager. On m’écrit aussi chaque soir pour me dire bonne chance. Ca me fait chaud au coeur qu’on me trouve souriante et très sympathique. Personne ne m’a directement écrit pour me critiquer.

Appréhendiez-vous les critiques ?

Oui, forcément. J’avais vu plusieurs Maestros qui ont subi des critiques. Et il y a beaucoup de haters sur les réseaux, donc quand on s’expose et qu’on sait que notre parcours dure un certain temps… Et vu le fait que j’ai eu pas mal de chance et que le rythme n’est pas toujours mon fort, je m’étais préparée à prendre de la distance par rapport à ça. Si on ne m’écrit pas directement, ce n’est pas moi qui vais aller chercher les commentaires.

Qu’avez-vous prévu cet été ?

Rien (rires). A part d’aller à la piscine, car là les chaleurs sont intenses à Genève. Enceinte, c’est très dur à supporter. J’habite dans un petit appartement et du coup, même sans ne rien faire, je transpire. Après, on a eu peur de partir en vacances. On ne voulait pas que j’accouche sur la route, car les longs trajets ne sont pas conseillés. On attend l’arrivée de notre petit loulou qui est prévue pour le 2 août. Mais j’espère qu’il arrivera pour fin juillet par rapport à l’école. A partir du 31 juillet, il passe dans l’année suivante, donc ça voudrait dire qu’il rentrerait à l’école à 5 ans et j’aimerais que ce soit à 4 ans. Donc l’échéance du 31 juillet est importante (rires).

Tout est prêt pour accueillir votre petit garçon ?

Oui ça y est, tout est prêt. Même si pour un deuxième on est quand même un peu moins prêt. En tout cas, on est impatients.

Avez-vous des appréhensions ?

Bien sûr. Le passage de 3 à 4, le changement d’équilibre. Il faudra retrouver nos marques, ça me fait très peur. Mais j’ai quand même hâte de le rencontrer, de voir Jessy grande soeur et de voir mon mari avec un petit garçon.