Les 12 coups de midi : cette anecdote de Jean-Luc Reichmann sur son grand-père

Aux commandes d’une nouvelle émission des 12 coups de midi, mardi 15 juillet sur TF1, Jean-Luc Reichmann a profité d’une question pour raconter une anecdote étonnante concernant son grand-père.

L’heure est aux confidences pour Jean-Luc Reichmann. Depuis 2014, l’animateur star de TF1 est aux commandes des 12 coups de midi, le jeu qui a succédé à Attention à la marche. Chaque jour, il s’invite dans le salon des téléspectatrices et des téléspectateurs pour poser des questions de culture générale à quatre candidats qui s’affrontent pour une seule place : celle du Maître de midi. Actuellement, c’est Louise, une jeune étudiante en journalisme âgée de 21 ans qui occupe cette place, première candidate à y rester plus d’une journée depuis le départ d’Émilien, le 6 juillet dernier. Après presque deux ans dans l’émission, le Vendéen a en effet été éliminé lors d’un ultime coup fatal. Heureusement, il est depuis régulièrement revenu dans l’émission, preuve qu’il a trouvé une deuxième famille dans Les 12 coups de midi.

Mais si son petit protégé n’est plus là, Jean-Luc Reichmann n’en a pas perdu pour autant sa bonne humeur et son goût pour les anecdotes. Ainsi, mardi 15 juillet, il en a raconté une à propos de son grand-père, dont il avait déjà fait part par le passé. Alors qu’il interrogeait un candidat sur ce que Harvey Ball Ross, le dessinateur à qui l’on doit le Smiley, avait touché pour sa création aujourd’hui mondialement connue, Lucas avait vu juste en répondant qu’il n’avait “peut-être rien touché”. Tout comme le grand-père de l’animateur, dont la création a été volée. “Il avait inventé les petits anges qui tournent avec la chaleur d’une bougie. Mais il s’est fait piquer l’idée !” a-t-il ainsi confié.

Zette explique la fameuse histoire derrière le Smiley

Pour ce qui est d’Harvey Ball Ross, c’est en 1963 qu’une compagnie d’assurance lui demande de créer ce fameux Smiley pour remonter le moral de ses salariés. Il est alors payé 45 dollars pour ce dessin, qui sera par la suite exploité gratuitement, jusqu’en 1972, lorsque le journaliste français Franklin Loufrani le dépose en 1972 auprès de l’INPI (Institut national de la propriété industrielle) et l’utilise dans la presse. Comme le grand-père de Jean-Luc Reichmann, Harvey Ball Ross n’a jamais touché de droits sur sa création aujourd’hui mondialement célèbre.